Le wokisme est aujourd’hui un mouvement bien identifié
et analysé. Se parant de la légitimité universitaire et se réclamant d’une démarche
scientifique, cette idéologie n’en constitue pas moins une formidable régression
de la rationalité et de l’universalisme : sous ses atours vertueux, ce
dogmatisme fait le lit de l’obscurantisme.
Née dans les départements de sciences humaines, la
pseudo-science militante envahit désormais la médecine et les sciences dures et
étend son influence bien au-delà de l’Université. Elle s’impose par l’intimidation
et récuse toute critique en l’assimilant à une « panique morale ». C’est
pourtant une réalité : la déconstruction systématique du savoir trahit l’esprit
scientifique au cœur des institutions chargées de sa défense, et, en aggravant
le déclin de l’enseignement, forge un monde de post-vérités où s’engouffre une
jeune génération condamnée à la déraison. En fragilisant le socle de références
communes, ce courant alimente le communautarisme et fracture la nation en un véritable
kaléidoscope identitaire.
Vingt-six universitaires révèlent les implications
multiples de ce recul du savoir d’où menace d’émerger une humanité diminuée.
Le wokisme est aujourd’hui un mouvement bien identifié
et analysé. Se parant de la légitimité universitaire et se réclamant d’une démarche
scientifique, cette idéologie n’en constitue pas moins une formidable régression
de la rationalité et de l’universalisme : sous ses atours vertueux, ce
dogmatisme fait le lit de l’obscurantisme.
Née dans les départements de sciences humaines, la
pseudo-science militante envahit désormais la médecine et les sciences dures et
étend son influence bien au-delà de l’Université. Elle s’impose par l’intimidation
et récuse toute critique en l’assimilant à une « panique morale ». C’est
pourtant une réalité : la déconstruction systématique du savoir trahit l’esprit
scientifique au cœur des institutions chargées de sa défense, et, en aggravant
le déclin de l’enseignement, forge un monde de post-vérités où s’engouffre une
jeune génération condamnée à la déraison. En fragilisant le socle de références
communes, ce courant alimente le communautarisme et fracture la nation en un véritable
kaléidoscope identitaire.
Vingt-six universitaires révèlent les implications
multiples de ce recul du savoir d’où menace d’émerger une humanité diminuée.
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