avers du calvaire
revers du calvaire
le revers du croisillon montre une sainte et saint André, patron de la paroisse,
avec son attribut, la croix en sautoir à branches obliques
une partie des armes du Christ sur une face du dé
FAITE PAR JEAN MARCHAL
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Croix de 1723 de Jouy-aux-Arches, Moselle
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Marie-France Jacops, "Quelques sculpteurs de croix de chemin et de calvaires de la fin du XVIIe et du XVIIIe siècles dans le Pays-Haut", dans Villages lorrains, 1995, n° 72, p. 4. Jean Marchal. Trois calvaires particulièrement soignés et présentant de fortes ressemblances entre eux portent la signature de ce tailleur de pierre qui n'a pas jugé utile de faire suivre son nom de celui du village où il exerçait son activité. Le plus ancien, daté de 1723, se dresse 39-41, Grande Rue à Jouy-aux-Arches. Récemment restauré, il a été élevé aux frais de Jean Chapet et de son épouse Marguerite Goussat à la plus grande gloire de Dieu et du Christ.






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