Une
professeure de droit de l'université d'Aix-Marseille a vu son nom publié sur
les réseaux sociaux à la suite de propos qualifiés d'« islamophobes ». Son tort
? Avoir expliqué, dans le cadre d'un cours sur les conflits de lois de master 2,
que certaines religions – en l'occurrence, l'islam et le judaïsme – seraient "sexuellement
transmissibles" et avoir ajouté : "L'un des plus grands problèmes qu'on a
avec l'islam, et ce n'est pas le seul malheureusement, c'est que l'islam ne
reconnaît pas la liberté de conscience. C'est quand même absolument terrifiant." Depuis, elle ne cesse de recevoir torrents d'insultes et menaces de mort, au
point d'avoir été placée sous surveillance policière.
Le Point, 17 décembre 2020.
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