"Bientôt le cours de la Vivonne s'obstrue de plantes d'eau. Il y en a d'abord d'isolées comme tel nénuphar à qui le courant au travers duquel il était placé d'une façon malheureuse laissait si peu de repos que comme un bac actionné mécaniquement il n'abordait une rive que pour retourner à celle d'où il était venu, refaisant éternellement la double traversée."
Marcel Proust, Du côté de chez Swann, Le Livre de Poche classique, 1992, p. 214.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire