La Charité
école sammielloise, pierre, début du XVIIe siècle
Église Saint-Étienne de Saint-Mihiel
La figure féminine, emblème der la Charité, portait autrefois un cœur enflammé dans sa main droite
(une photo de 1892)
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- Charles Souhaut, Les Richier et leurs oeuvres, 1883, p. 352-353. Œuvre attribuée à Jean Richier.
- Horst Van Hees, Die lothringische Skulptur des 16. Jahrhunderts, Saarbrücken, 1973, p. 411 et n° 608. Suite des Richier, début du XVIIe siècle.
- Geneviève Bresc-Bautier, "La famille de Ligier Richier", dans Noëlle Cazin, Marie-Agnès Sonrier (sous la dir.), Ligier Richier, un sculpteur lorrain de la Renaissance, Nancy, Éditions Place Stanislas, 2008, p. 104 : "La composition n'est pas originale et adapte la Charité d'Andrea del Sarto au cloître du Scalzo à Florence, comme un albâtre du Louvre (attribué à tort à Germain Pilon). Sylvia Pressouyre a montré que son style était comparable à la Charité sculptée par Nicolas Cordier à Rome. Est-elle la source de cette œuvre, ce qui placerait sa réalisation avant le départ de Cordier pour Rome, en 1592 ? Ou bien les deux compositions découlent-elles du même modèle ? Les éléments décoratifs maniéristes du socle ou le vêtement de la Charité semblent appartenir au XVIe siècle, mais il peut simplement s'agir de réflexes maniéristes attardés."
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