Dans Télérama, Bruno Decaris, architecte en chef des monuments
historiques, déclare : « Mon travail
consiste à révéler les monuments, à les mettre en lumière, à leur donner du
sens. Pas à les restaurer ! Le terme même de "restauration" ne me
plaît pas. Il sent la nostalgie rance, l’Ancien Régime, le "c’était mieux
avant"... ». Il est invraisemblable que celui qui déclare aussi clairement
que son travail ne consiste pas à « restaurer » des monuments puisse être
toujours employé pour la… « restauration » de monuments historiques dont l’État
a, de par la loi, l’obligation de veiller à leur intégrité.
(D’après Didier Rykner, Bruno
Decaris sévit encore : le couvent des Pénitents à Louviers, dans La Tribune
de l’Art, 10 avril 2014)
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